Cher journal, je viens d'arriver. Je suis dans la classe des violettes, ma fleur préférée, mais je n'en tire aucun bonheur. Père, Mère, Rose, ma nourrisse et toutes mes gouvernantes et demoiselles de compagnie, ainsi que mes frêres et soeurs me manquent énormément.
Je n'ai encore vu personne ici, et je me demande quel acceuil me réservent les pensionnaires. Je vais aller dans la classe de cours pour voir s'il y a quelque chose d'interressant.