la promenade

Eléonore arriva.
-Que le temps est beau,dit-elle,et tous ses parfums qui embaument l'air!

-Regarder c'est la forèt interdite,j'aimerais tant y rentrer.Attention c'est l'infirmière.Elle est adorable mais nous empechera à coup sur de rentrer dans le bois.

Au, bonjour mesdemoiselles, vous aussi vous êtes venues vous promener?
Dit-elle en apercevant les jeunes filles.
-Je ne suis pas là pour bien longtemps, car j'ai une potion sur le feu et il serait stupide de la rater!

Margherite arriva.
"Oui,ils sont fort beau.Oh !!!"
Elle s' approche d' une fleur.
"Mais ses fleurs manque d' eau,elles vont se déssécher !!!"
Elle part et revient avec un arrosoir.Elle arrose les fleurs.
"Vous savez, si on entretiens mal les fleurs,vous ne pouvez pas faire des parfums."

-Ah,soupirat Eléonore de soulagement,je suis fatiguer et vais me retirer.
soufflant à Margherite:"On essayera plus tard".

-Je ne le sait que trop bien,l'homme n'ai point toujours bon envers la fleur.

-Diantre, je sens le brûler! je dois y aller! Au revoir mesdemoiselle! et rappelez vous qu'il ne faut pas entrer dans la forêt interdite! cela est défendu! et c'est dangereux! surtout à cause de... Oups, j'en ai trop dit!
Et elle s'en alla, courant comme elle le pu avec sa robe, une main sur sa bouche comme pour s'empêcher de parler!

-C'est mysterieux ça,dit Eléonore curieuse comme à son habitude.

-Je suis lasse,je me retire.

-Il fait beau, les oiseaux chantent, le soleil brille! c'est une merveilleuse journée pour aller se promener. Oh, la forêt interdite, je ne dois pas m'en approcher. Qui sais ce qui pourrait m'arriver. Mais cepandant, j'ai entendu dire qu'elle abrité une fleure très rare à la beauté et au parfum envoutant capable de soigner n'importe quelle maladie: l'orchidée blanc, ou plus communément appeler: la fleur de lune.
L'infirmière se retourna et regarda l'antre de la forêt. Soudain, elle fit volte-face et reparti dans la direction opposé vers l'infirmerie.
- Que racontes-tu ma cher Eglantine, tu es devenu folle. Tu es quand même un membre de cette école et enfreindre les règles serait la bafouer!
Elle marcha d'un pas pressé sans se retourner jusqu'à atteindre la porte de l'infirmerie.

Voilà,elle ne mangeait plus elle ne souriait plus,elle était malheureuse mais elle sauverait son fiancénquoi qu'il en coute quoi qu'il en fasse,en vérité ils s'étaient simplement arrétés dans une auberge et fait retrouver par les gens du roi.Elle vit une silhouette qui ressemblait à celle d'Amélie et s'approcha avec apréhension:
-Faite qu'elle accepte de m'aider.

Amélie marchait droit, et vite, la tête baissé. Perdue dans ses pensées, elle ne remarquai pas la présence de Eléonore, qui semblait emplie de tristesse. Les deux jeunes filles se heurtèrent violemment et Eléonore tomba à terre.
- Oh mon dieux! s'écria Amélie lorsqu'elle constata qu'elle était la responsable. Je suis confuse! Veuillez m'excuser, je suis vraiment désolé! je ne voulais pas!

-Ce n'est rien,répondit précipitament Eléonore.Cette jeune lui parraissait fiable.
Elle s'éclaircit la gorge:
-Pourrais-je...euh...vous dire...quelque chose,là bas...plus loin...?

-Heu... Bien sur, allons-y.
Elle la suivit, bien qu'hésitant sur la nature de ses paroles. Qu'allait-elle lui révéler?

Eléonore regarda sa compagne au fond des yeux.La comprendrait-elle?La prendrait-elle pour une déliquante?Elle ne pouvait plus reculer maintenant,c'était livrer son secret ou se jeter au fond du lac.Hortense,Clémence,Béatrix,Margherite,peut ètre,étaient au courant.Mais elles avaient tant d'autres problèmes...La jeune comtesse retint sa respiration et se confia enfin:
-Il y'a ici,dans cette école une jeune fille du nom de Beatrix.Hughenote au fond de l'àme et fidèle à sa religion première.J'avais promie amour et fidélité à son frère qui pense tout comme elle.J'ai fugué avec lui.Nous nous sommes fait rattraper dans une auberge aux alentours d'Orléans.Il est en prison là-bas et qui sait quant part la chaine.
Elle trembla,la question cruciale s'imposait:
-Accepteriez vous de me donner,avec les risques et puérils de l'aventure,un aide dont j'ai désespérement besoin?

Je me raidis. C'étais bien la première fois qu'on abordait ce sujet devant moi. Mais même sans la connaitre, je sentais sa détresse. Et je sentait aussi au fond de mon être que j'avais une envie d'aventure dans ma vie trop triste.
-- J'accepte. je me nomme Amélie de Boutan. En quoi puis-je vous être utile?
Un sourire éclaira sa figure.
-- Je...
-- Mesdemoiselles!
Je me retournais en hâte. Je voyais l'infirmière courir pour nous rejoindre. En règle générale, j' appréciais beaucoup sa compagnie, mais là il semblait qu'elle ne devait pas entendre ce genre de conversation. Au fin fond de mon âme, même en sachant que ce n'était pas bien, je tentais vainement de me convaincre qu'un miracle allait arriver. Soudain, une voix retentit derrière elle:
-- madame! Une jeune fille ne se sent pas bien!
Je soupirais de joie. Puis je regardais à nouveau celle que je reconnaissais comme étant éléonore.

Eléonore se sentit illuminée de joie:elle acceptait!Un soulagement immense l'envahit.
-Ce qu'il faudrait c'est sensibiliser le roi ou une personne haut placé pour libérer mon fiancé.
Elle ajouta:
-Je savais que vous seriez à la hauteur.

-- Vous savez, même si je n'en ai pas l'air, je connais certainne personne qui peuvent vous aidez. Ma tante, la baronne de Pélissier, est très proche du roi. On raconte que ce serait même une deses favorites... mais je n'ai pas eut de ses nouvelles depuis longtemps, mais je suis sur qu'elle accepterait de nous aider...
Mais au fond de moi, je n'étais pas sûr qu'elle voudrait... Car magré tout, elle était est restera toujours une vive chrétienne et aidé un huguenote lui étais surement inconcevable à moin qu'il ne prête serment...

Eléonore entrevit le trouble de son amie.Elle lui prit vivement les mains.
-Il faut le sauver ou du moins tout faire pour,supplia-t-elle,de la folie au fond des yeux.
Puis,génée,elle baissa la tète pour pleurer en silence.Enfin,elle se releva et dit:
-Merci,merci de m'avoir comprise,merci de m'avoir offert votre aide.
Au fond du coeur d'Eléonore,il y'avait une reconnaissance éternelle.

Amélie devait maintenant inventer un plan... La mission ne s'annoncer pas facile, mais il fallait absolument aider cette pauvre éléonore...
-Mon frère pourrait nous aider. je vais de ce pas lui écrire un billet.
Elle s'éloigna, se dirigeant vers le dortoir.

Margherite arriva,ayant entendue leurs conversation tout en dormant sur le banc à côté.Elle s' approcha:
"Je pouraais peut-être vous aidé..."